Notre agence a géré plus de 3000 opérations de référencement pour les ETI, les grandes entreprises et entreprises du CAC 40.
Le buzz marketing, le marketing viral sont largement utilisé dans la presse, mais la réalité que ces techniques recouvrent est décalée par rapport à l'image que véhiculent les journalistes qui sont souvent victimes des dossiers de presse des entreprises vantant les vertus miraculeuses du buzz marketing. Neodia analyse, depuis 2001, les campagnes de type buzz marketing et de marketing viral afin de distinguer les campagnes qui font réellement du buzz, des campagnes qui disent qu'elles font du buzz. Neodia identifie, ensuite, les facteurs clés de succès de chaque campagne et modèlise les dynamiques de diffusion de l'information associées. Neodia est, ainsi, à même de proposer les concepts les plus efficaces de buzz marketing et surtout de vous indiquer s'il existe un concept de buzz adaptable à votre site. |
Des propos dénigrants vous mettent en cause lorsque l'on tape votre nom dans Google ?
Notre société est la première société à avoir proposé des services de "nettoyage" de la première position de Google.
Nous garantissons nos résultats. En deux à trois mois, la première page de résultats de Google est de nouveau sous contrôle.
Contactez-nous ou consultez notre site sur la protection de votre image "Net réputation"
Neodia élabore des plans de gestion de l'ereputation afin de vous permettre de gérer l'image de vos marques sur le web.
Le coût du clic issu des liens sponsorisés Google Ads / Adwords est désormais si élevé dans de nombreux secteurs que nombre d'annonceurs rencontrent des difficultés à rentabiliser leur campagne d'achat de mots clés.
Le système d'enchère mis en place par Google, aboutissent à des prix du clic sur les mots-clés hors marque (crédit, voyage, assurance...) que les agences ont souvent recours à un subterfuge pour afficher des résultats acceptables pour l'annonceur: acheter le nom de l'annonceur (dont le CPC est moins élevé et dont le taux de conversion est plus élevé), pour améliorer les performances moyennes de la campagne.
Mais gérées avec des techniques précises, elles peuvent redevenir rentables.
Depuis sa première campagne Google Adwords en 2002, Neodia n'a cessé de faire progresser ses techniques d'optimisation de Campagne Adwords.
Aujourd'hui, la méthode d'optimisation s'organise autour de trois points:
Pour ne parler que l'optimisation du choix des mots clés, voici quelques éléments de l'approche de Neodia.
Comme tous les prestataires, Neodia identifie les mots-clés les plus fréquemment demandés par les internautes. Neodia va un peu plus loin puisqu'elle quantifie l'univers sémantique global du client: le client connait le nombre de requêtes global des internautes qu'il cible dans les moteurs de recherche. Il saura ainsi le nombre de requêtes que la concurrence doit se partager et pourra se fixer une part de voix à atteindre (la part des requêtes qui aboutiront sur ses sites).
Plusieurs axes guident la sélection des mots clés:
Aujourd'hui, Neodia est devenue experte dans six types de prestations
Neodia a la passion de la donnée car c'est l'une des 4 clés du succès sur internet (avec la maîtrise de l'acquisition, de la conversion et de la fidélisation).
Neodia a aidé plus de 200 clients à installer Google Analytics sur leur site, puis les a formé à interprêter les chiffres, puis à créer vues, tableaux de bord et segments personnalisés.
Neodia a aidé plus de 30 sites à installer Google Tag Manager pour organiser leur dizaine de tag de tracking.
Neodia est obsédée par l'analyse du ROI des campagnes (taux de clics, taux de conversion, AOV (panier d'achat moyen), LTV (Life Time Value), rétention), depuis qu'elle a créé l'un des premiers acteurs du tracking, 24pm Affiliation qui est devenue leader avec 200 programmes d'affiliation en 2002.
Notre agence a mis en évidence qu'un site peut multiplier son chiffre d'affaires par 3 en:
Le produits de ces optimisations est bien de 300%: 120% X 120% X 120% X 120% X 120% X 120% = 298%
Atteindre cet objectif n'est pas chose aisée, mais avec une approche méthodique, cela est la portée de n'importe société rigoureuse et accompagnée par des spécialistes.
Les experts de notre agence ont prouvé que les marges de progression de la plupart des sites sont très importantes, comme le démontre le graphe ci dessous.
Neodia a accompagné des dizaines d'entreprises dans la mise en place de plans visant à rentabiliser leurs actions digitales.
Quelques statistiques suprenantes:
Pourquoi ?
L'intensité concurrentielle augmentant, les coûts d'acquisition ont beaucoup augmenté. Cela a limité le développement de nombreux sites et fait décroître les marges d'autres.
Le travail sur l'optimisation du taux de transformation est, dans de nombreux secteurs, l'une des planches de salut.
Neodia propose des prestations d'optimisation du taux de transformation depuis 2008.
Les stratégies actuelles d'email se compose de deux types d'actions:
Notre agence a mis au point une technique de fidélisation unique qui dépasse les sempiternelles newsletters de masse, qui spamment les boîtes à lettre des internautes.
Elle se compose de trois prestations:
L'email automation signifie renvoit à deux réalités:
1. Une traduction littérale: Automatisation des emails
2. Un concept marketing en vogue qui consiste à programmer l'envoi d'emails en fonction d'actions d'internautes, de leur historique d'achat ou de leur profil
L'idée simple derrière ce concept consiste à cesser d'envoyer des messages de façon massive et souvent peu contextuelle que les destinataires assimilent au bout d'un moment à du spam.
Il faut aussi préciser que l'utilisation de l'expression "Email automation" relève beaucoup de l'effet de mode car les professionnels y placent parfois des réalités différentes:
Neodia propose d'analyser vos besoins et de vous aider à mettre en place un système d'email automation si cela fait sens pour votre société et à coupler cette démarche avec des outils d'email marketing et de fidélisation plus classiques.
Neodia propose des services de conseil en stratégie digitale parce que 75% des entreprises classiques sous performent sur le digital, souvent sans le savoir.
Les raisons sont simples et connues de tous
Pour toutes ces raisons, l'intervention d'un pionnier du web qui gère de véritables entreprise depuis 20 ans, peut permettre d'affiner la stratégie digitale d'une entreprise.
Notre agence propose une gamme complète de prestations d'audit de vos actions digitales des analyses holistiques comme l'audit 360° de votre site web jusqu'à des études fines comme l'analyse de la stratégie éditoriale de votre chaîne Facebook ou de la qualité de vos engagements sur Instagram.
Si vous êtes intelligent, travailleur et loyal, contactez-nous vite.
Si vous croyez qu'une petite équipe peut faire des miracles, contactez-nous vite.
Si vous êtes passionné par le digital, contactez-nous vite.
Si vous avez 10 d'expérience dans un des métiers du marketing digitale, contactez-nous vite.
Si vous voulez travailler avec des fous qui sont obsédés par l'apprentissage de nouvelles techniques, méthodes, stratégies, contactez-nous vite.
En 20 ans d'expérience, notre agence a développé de multiples compétences et les a documenté au sein d'un Knowledge Center interne qui lui permet de former des spécialistes dans un grand nombre de domaines liés au marketing digital.
Notre agence possède donc, en réalité, non pas un mais plusieurs visages.
Neodia Digital est, ainsi, d'une façon générale, une agence de marketing digital, mais aussi:
Neodia est une agence qui s'efforce d'être vertueuse sur divers plans.
Fondée par un écolo qui se définit comme amateur, depuis 1990, Neodia a toujours accordé un grande importance à réduire son empreinte écologique.
Son plan de minimisation de son empreinte comprendre 4 volets.
Des outils utiles pour le webmarketer débutant ou confirmé.
Outils pour sélectionner, récupérer ou gérer des noms de domaine.
Le growth hacking est devenu en quelques années un buzzword si fort que de nombreux jeunes diplômés rêvent de devenir growth hacker. Cet article décode ce qu'est le growth hacking et liste 101 techniques de Growth hacking.
Le growth hacking est un concept inventé, en 2010, par Sean Hellis, un consultant ayant été responsable du développement de Dropbox et d'une autre start up californienne. Il a testé des techniques de développement de start up et formalisé son approche afin de revendre ces techniques sous forme de consulting et de services en ligne (growthhackers.com). La mode du growth hacking s'est répandue entre 2011 et 2013 et est arrivée en France
Il a appliqué avec succès, ses méthodes de promotion à son propre concept et rendu populaire le dit concept, dans le monde entier, en l'espace de 3 à 4 ans, grâce à des relais nationaux. Les relais utilisés à la base par Sean Ellis, inclut pour l'essentiel, ce qu'il a testé et utilisé avec succès pour les startups qu'il a accompagné qui proposait pour l'essentiel des services en ligne: buzz, marketing viral, campagnes de publicité à la performance (Adwords, Facebook Ads).
Disposant de peu de contenus sur leur site, ces start-up n'ont pas pu s'appuyer sur le référencement naturel qui est pourtant le premier pourvoyeur de trafic et de nouveaux clients pour 95% des sites internet.
Il existe donc un trou béant dans le growth hacking.
L'exclusion quasi systématique du référencement naturel des présentations sur le growth hacking est d'autant plus remarquable que l'état d'esprit du growth hacker (enfin, le "mindset", les growth hackers ayant un vocabulaire en français se réduisant avec les années), est de trouver des failles dans les dispositifs des réseaux sociaux, des filtres anti spams des autres sites.
Or, trouver des failles, hacker Google, est dans la nature même du référencement naturel. Il est donc, véritablement étonnant que le référencement naturel soit si peu intégré dans les stratégies de growth hacking "pures".
En France, la société The Family, qui est spécialisée dans la formation des start-ups et des cadres du digital dans les grandes entreprises, a placé le growth hacking au coeur des stratégies de développement des start-up qu'elle accompagne entre 2013 et 2015. Une génération de jeunes entrepreneurs a donc été biberonnée au growth hacking qui est devenu, synonyme pour eux, de stratégie de développement digitale. En réalité, seules une poignée d'entre eux a pu identifier des techniques de growth hacking leur ayant permis de se développer rapidement. La moitié des autres sont morts, 90% de ceux qui ont survécu ont connu des succès d'estimes et sont devenus des PME, mais n'ont pas validé leur potentiel de start "UP". Dans la réalité, le growth hacking a correspondu, pour la plupart d'entre à des relais de croissance leur ayant permis d'attirer quelques dizaines de milliers de visiteurs par mois et quelques dizaines à à centaines de nouveaux clients.
Depuis, les articles, conférences formations qui présentaient le growth hacking comme une nouvelle approche du développement sur internet se sont multipliés.
Ces articles, conférences et formations se résument souvent à deux choses: démontrer que le growth hacking est un état d'esprit d'une part et donner trois ou quatre exemples de growth hacking (la plupart du temps, correspondant aux exemples de Sean Hellis). Autour de cela, on trouve des références à des théories diffusées par des gourous (enfin deux gourous essentiellement, Peter Thiel et Eric Ries). Le premier est le co-fondateur de Paypal et est devenu milliardaire et à ce titre, auteur messianique d'une bible intitulée "Zero to One", dans laquelle il explique que créer une société sur un marché concurrentiel est une ineptie et que seuls ceux qui créent leur propre marché et le transforment en monopole mondial, afin de pratiquer la politique de prix et de marges libérées de toute contrainte concurrentielle sont des entrepreneurs éclairés).
Eric Ries, s'il n'est pas milliardaire, est un serial entrepreneur (il a créé et revendu plusieurs entreprises). A quel prix ? Etaient-elles rentables ? On ne sait pas pas trop et d'ailleurs nul besoin de le savoir pour croire à ses précepts à lui, développés dans "Lean startup", un ouvrage écrit il y a une dizaine d'année, c'est à dire l'équivalent de 70 "années internet". Dans un univers digital où l'accélération et l'exponentialité détermine l'échelle et la vitesse du changement, on se demande d'ailleurs, comme des startupers peuvent encore appliquer des règles vieilles, du coup, de 70 ans. On n'est plus à un paradoxe prêt.
La méthode lean startup pourrait se résumer à deux choses:
En quête de sens dans l'univers chaotique du digital, de nombreux entrepreneurs ont soigneusement appris les préceptes de ces deux bibles comme en d'autres temps, des entrepreneurs américains ont appliqué les règles de ceux qui leur apprenaient les principes pour devenir millionnaires avec une petite affaire. Dans cet univers où tout parait possible, la barre est passée plus haut: l'objectif est de créer une multinationale "dominant son marché", étouffant toute concurrence et imposant des prix élevés pour rendre ses fondateurs incroyablement riche (les gourous leur laisse carresser l'espoir de devenir milliardaire, tout en changeant le monde. Traduisez (en convaincant de télécharger leur application ou en réservant leur taxi, leurs courses, leur chambre d'hôtels par une application ou un site, plutôt qu'en se déplaçant physiquement dans la rue histoire de faire un peu d'exercice).
De nombreux start-upers se rejoignent donc dans des croyances issus de la fusion de plusieurs religions (le lean startup et le zero to one) auxquels ils intégrent des éléments venus d'autres religions comme le growth hacking.
La messe du growth marketer s'axe autour d'AARRR
Le growth hacking regroupe, concrètement, des techniques classiques:
- Spamming par email
- Référencement naturel
- Adwords
- Facebook Ads
- Marketing Viral (blog marketing, relations publiques, relations presse, parrainage, socialisation de sites...)
- Buzz marketing
- Web analytics (avec deux outils de référencement: Google Analytics et Mixpanel)
- App Analytics
- Tests A/B
- Optimisation de l'ergonomie
- Tests A/B centrés sur l'onboarding (la transformation des inscrits/membres en utilisateurs actifs)
Dans le growth hacking, certaines techniques de webmarketing classiques sont rebaptisée. Voici un embryon de lexique des anciens termes termes du webmarketing traduit en jargon Growth Hacking.
A partir de 2015, le growth hacking qui repose en large partie sur le piratage des fichiers issus des réseaux sociaux, est présenté comme déclinant par certains de ses promoteurs. Ces derniers, étonnés, découvrent que les réseaux sociaux ont mis en place des parades pour lutter contre le hacking de leurs fichiers. Ils prédisent le mort du Growth Hacking. On a l'impression qu'ils revivent ce qu'on vécu les référenceurs de la première heure, lorsqu'en 2005, Google a mis en place une webspam team et blacklisté des centaines de milliers de sites qui enfreignaient trop ostensiblement ses "consignes aux webmasters".
En réalité, il s'agit tout au plus d'un stade du développement, le growth hacking reposant, en réalité, déjà, à la base sur la quatrième génération de techniques de spamming, la troisième génération de techniques de parainnage, la troisième génération de techniques de promotion sur les réseaux sociaux, la troisième génération d'outils de web analytics et la deuxième génération de techniques d'A/B testing.
Bref, le growth hacking, si on accepte qu'il constitue une nouvelle approche du webmarketing n'est pas mort, mais est appelé à se renouveler.
Avertissement, certaines techniques sont datées et ont une durée de vie limitée. D'autre continuent de fonctionner depuis 20 ans, comme le parainnage.
La viralisation d’un site web consiste à identifier tous les endroits sur le site où l’on peut insérer des messages du type : « Vous appréciez ce site ? Avertissez vos amis ! »
La façon la plus immédiate consiste à insérer des vignettes dans le haut de l’écran ou dans la colonne de droite.
Des scripts (programmes) écrits en php/javascript, très faciles à installer sont disponibles sur le web et permettent de gérer l’envoi de messages de recommandation, par exemple via les réseaux sociaux. L’investissement technique est donc minime. En revanche, toute la difficulté de l’exercice consiste à trouver les moments où l’internaute sera réellement enclin à inscrire les noms et e-mails de ses amis ou collèges sur l’un de vos formulaires de recommandation. Si on ne trouve pas les bons endroits, ces modules ne servent à rien. Sur Planète Commerce, j’ai placé les invitations au prosélytisme sur toutes les pages du site mais cela n’a strictement servi à rien. Parmi les moments privilégiés, on peut citer :
Tous les sites possédant un contenu original ou riche et des services gratuits à forte valeur ajoutée s’appuient sur le bouche-à-oreille sans qu’une démarche active n’ait été nécessairement entamée. Les newsletters populaires, les services du type calcul des impôts, les outils de recherche font très souvent l’objet de recommandation. Le moteur de recherche Google est rapidement devenu très populaire grâce à sa rapidité et à sa simplicité. Ce sont ces deux caractéristiques qui ont déclenché le bouche à oreille à un moment où les homepages des portails à la notoriété déjà bien assise, étaient devenues complexes et lourdes à charger. Un des exemples les plus connus de site qui a profité du bouche-à-oreille est celui du film «Blairwitch project». Contrairement aux sites classiques des studios de cinéma qui présentent de façon très commerciale leur film (design très professionnel, fiche sur les acteurs, photos, bandes annonces et économiseurs d’écran à télécharger), blairwitch.com se présentait, dans sa première version, comme un site qui présentait une sorte de reportage étrange relatant une histoire réelle au cours de laquelle plusieurs personnes auraient disparu. Lors de la sortie du film en Australie, la production recruta dix étudiants à qui l’on demanda de coller des affiches rappelant celles des personnes recherchées et contenant l’adresse du site web. Plusieurs centaines de milliers de visiteurs se connectèrent au site web. Le budget promotion s’était seulement élevé à 3000 dollars australien.
Les systèmes de parrainage ont connu leur véritable décollage sur Internet avec l’arrivée des systèmes de surf rémunéré. Ces sociétés offrirent à partir de 1999 la possibilité d’être rémunéré à surfer à condition d’accepter la présence d’une barre affichant un bandeau publicitaire. Pour augmenter leurs revenus, les internautes devaient recommander ce concept, facilement vendable, à leurs proches. A l’issue de la période de prélancement, la société française Médiabarre, la première à se lancer sur ce créneau, avait déjà enregistré 60 000 préinscriptions. Pour gérer ce système de parrainage, la société a dû développer des applications sur mesure et dégager un budget très conséquent.
Le développement des listes de discussion de bonne qualité est quasiment toujours porté par un phénomène de marketing viral linéaire. D’ailleurs, vos amis ont déjà dû vous recommander de vous abonner à une liste de discussion relative à vos passions ou à votre métier. Suivant la thématique et la qualité de la liste, le nombre de nouveaux abonnés « viraux » peut varier entre quelques personnes et quelques milliers. La lettre d’information du Journal du Net –http://www.journaldunet.com– a utilisé des techniques d’e-mailing pour engranger une première vague d’abonnés qui, satisfait par le contenu de la lettre, a recruté une seconde génération d’internautes. Cette lettre compte aujourd’hui plusieurs dizaines de milliers d’abonnés dont un minimum de 20% à 40% ont été recrutés par bouche-à-oreille. DNS News, la newsletter que mon associé Loïc Damilaville édite sur l’évolution de la problématique des noms de domaine, s’est appuyée sur le même type de dynamique. Nous l’avons lancé en septembre 1998 en l’annonçant aux abonnés de la newsletter de Planète Commerce et sur le site lui-même. Puis, les archives de la liste nous ont fourni le contenu pour lancer un site que nous avons positionné dans les outils de recherche. Ces deux actions nous ont permis d’atteindre environ 300 ou 400 abonnés sur une thématique très pointue. Fin 2000, la liste compte 800 abonnés de plus, la plupart venus sur recommandation.
L’attractivité des newsletters est qu’elles permettent à des entreprises de toute taille de recruter, à moindre frais, de nouveaux utilisateurs et futurs clients via le marketing viral (car il est facile de produire du contenu).
Offrir des services gratuits permet également d’activer le bouche-à-oreille. Le mécanisme est facilement compréhensible : « Je viens de trouver un service d’hébergement de site web avec telle et telle possibilité, viens donc l’essayer… ». C’est sur ce principe que Mygale.org, racheté plus tard par Multimania, est parvenu à attirer des dizaines de milliers de webmasters en herbe. Mais, le bouche-à-oreille peut également jouer dans le sens contraire. Gratuit ou pas, un service doit avoir une qualité minimum car l’internaute reste exigeant, qu’il ait payé pour le service ou non. Devant l’abondance de ressources disponibles sur le web, l’internaute estime qu’utiliser le service de tel ou tel site est un honneur qu’il fait à la société qui offre ce service. Etant donné qu’au sein du groupe d’utilisateurs gratuits, il existe toujours un nombre résiduel d’insatisfaits chroniques, tous les services gratuits font l’objet de critiques au moins une fois dans leur vie, via des forums de discussions ou des mailing-lists. C’est le cas de Multimania qui n’est jamais suffisamment rapide, qui est toujours en retard au niveau des fonctionnalités offertes aux dires des utilisateurs « professionnels » des services gratuits d’Internet.
En 1997, j’ai reçu pour la première fois par e-mail une petite animation avec un père Noël qui effectuait un strip-tease sur un fond musical. Je me suis évidemment empressé de la transmettre à des amis, toujours par e-mail. J’ai fait de même avec la mère Noël l’année suivante… Ces petites applications, très populaires et très virales, focalisent souvent l’attention des responsables marketing qui désirent entrer dans le monde du marketing viral. C’est le cas aussi pour les animations Flash qui ont fleuri à partir de début 2000. Ces animations ludiques et attractives ne sont malheureusement pas toujours efficaces pour deux raisons :
En revanche, il existe des objets qui ne sont pas bloqués : c’est le cas des fichiers au format PDF qui sont faciles à produire, susceptibles d’assurer une véritable visibilité à la marque (il suffit d’insérer le logo sur toutes les pages du document) et d’inciter à se connecter sur le site web pour obtenir plus d’informations.
« Vous avez reçu une carte postale virtuelle ! ». Voilà un message qui vous pousse à coup sûr à ouvrir le mail et à vous connecter sur le site de cartes postales virtuelles à partir duquel l’expéditeur du message (un ami, une conquête, un mystérieux individu…) l’a envoyée. Et comme vous êtes quelqu’un de poli qui répond systématiquement aux vœux qu’on lui envoie, vous allez répondre et envoyer une nouvelle carte. Par la même occasion, vous enverrez une autre carte à un(e) autre de vos ami(e)s. A l’occasion du nouvel an 2001, j’ai estimé qu’entre 500 millions et 2,5 milliards de cartes de vœux électroniques avaient été envoyées par Internet. Il est à noter que ces services sont souvent très utilisés par les internautesses. Pour offrir un service de cartes postales virtuelles, des logiciels sont disponibles mais la principale difficulté consiste aujourd’hui à trouver des moyens de se différencier.
Une de mes amies très bavardes, nouvellement internaute, Claire, a découvert l’e-mail gratuit de Yahoo France, il y a quelques semaines. Il s’agit d’un service qui permet de consulter son courrier électronique à partir de n’importe quel ordinateur connecté à Internet. En l’espace de deux mois, elle a envoyé plusieurs centaines de messages à plusieurs dizaines de correspondants. Au bas de chacun de ses messages, un message publicitaire invite à utiliser le service de mail de Yahoo mais aussi d’autres services de Yahoo. Sur une période d’un an, je suis persuadé qu’elle aura fait entre 1 000 et 1 500 fois la promotion de Yahoo à travers les messages qu’elle aura envoyés. Aux Etats-Unis, un des tous premiers services d’e-mail gratuit, Hotmail.com, racheté en 1998 par Microsoft, est parvenu à séduire plusieurs millions d’internautes en trois ou quatre ans. Son homologue français, Caramail, enregistre un trafic de plusieurs centaines de millions de pages tous les mois. Le savoir-faire pour gérer ce type de service est très complexe et c’est pourquoi il existe désormais des prestataires qui proposent de fournir ce service à vos couleurs.
Une variante du mail gratuit est apparue dans le courant de l’année 2000 : le générateur de services d’e-mail gratuit : une société, qui désirait se positionner avec beaucoup de retard sur le créneau de l’e-mail gratuit, a eu l’idée de proposer à tout un chacun la possibilité d’offrir son propre service d’e-mail gratuit. Votre site est cvfm.com ? Pourquoi ne pas proposer un e-mail gratuit du type Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ? L’idée est de s’appuyer sur la dynamique d’un service comme Hotmail dont la promotion serait démultipliée par l’énergie de plusieurs milliers de webmasters qui en assureraient la promotion sur les pages de leur site web.
Lorsque vous êtes connecté à Internet et que vous devez envoyer un mail à un ami ou collègue, vous ne savez pas s’il est connecté et s’il sera à même de vous répondre rapidement. ICQ (« I seek you » = « je te cherche ») est un logiciel qui s’installe sur votre ordinateur et qui détectera si les amis que vous désirez contacter sont connectés en même temps que vous ; il permet alors de « converser » par l’intermédiaire du clavier en temps réel. Pour ce faire, vous devez les encourager à installer le même logiciel sur leur propre ordinateur. D’ailleurs, vous-même avez été convaincu par l’un de vos propres amis d’adopter ICQ… Plus le nombre de personnes à adopter ce système est important et plus le logiciel sera utile pour vous. Le logiciel ICQ a été copié à de multiples reprises (AOL Messenger, Excite Messenger…). Lancé fin 1996, ICQ avait déjà séduit 1,6 million d’utilisateurs fin juin 1997. En juin 2000, plus de 100 millions d’internautes ont téléchargé ICQ.
Jusqu’en 1998, il était relativement difficile pour les petits sites ne disposant pas de moyens techniques ou financiers importants, de créer et d’administrer une news-letter ou une liste de discussion. La société Californienne Egroups –http://www.egroups.com–, rachetée depuis par Yahoo, proposa à tous les internautes de créer leur propre liste gratuitement. Bien entendu, à chaque fois qu’une nouvelle liste était créée, son propriétaire s’empressait de faire sa promotion à partir de son propre site web afin d’attirer de nouveaux abonnés à sa liste de discussion. Entre mars 1998 et octobre 1999, Egroups a ainsi attiré 9 millions d’utilisateurs, abonnés ou gestionnaires de l’une des 280 000 mailing-lists.
Vous avez probablement entendu parler du système d’échange de fichiers musicaux MP3, Napster. Il s’agit d’un logiciel qui, une fois installé sur votre ordinateur, vous permet de télécharger des morceaux au format MP3 à partir des ordinateurs des autres utilisateurs connectés en même temps que vous, tout en partageant les chansons présentes sur votre propre disque dur. Ce type de système d’échange qui permet de tirer partie de la puissance et des ressources disponibles sur des milliers de machines connectées sur Internet, s’appelle le Peer-to-Peer. Une logique forte de marketing viral est associée à la diffusion de ces services : dans la mesure où l’avantage perçu par l’utilisateur est suffisamment fort, ce dernier installe le système et va chercher à encourager d’autres utilisateurs à l’adopter car, à chaque fois qu’un utilisateur supplémentaire partage ses propres fichiers, il vient augmenter le volume de richesses partagées et l’intérêt intrinsèque de l’ensemble du réseau d’utilisateurs. Seulement un an après son lancement, Napster avait été installé sur plusieurs millions d’ordinateurs dans le monde sans jamais avoir dépensé quoi que ce soit en communication.
Neodia anime des communautés de professionnels autour de thématiques relatives au digital.
Nous partageons nos réflexions, nos idées et laissons évidement à tous les membres de ces communautés, les mêmes options.
Venez aussi partagez avec nous, vos passions, coups de gueules, idées ou questionnement en vous inscrivant à ces communautés.
Depuis 2004, Neodia accompagne les entreprises dans leurs transformations numériques les plus stratégiques. Basée à Paris, notre société a toujours anticipé les révolutions technologiques, et l’intelligence artificielle en est aujourd’hui le levier le plus puissant. Grâce à une approche pragmatique et sur-mesure, nous déployons des solutions d’IA qui s’intègrent réellement dans vos métiers, vos processus et vos objectifs.
Neodia a construit une offre d’intelligence artificielle complète, allant de l’audit stratégique à la mise en œuvre technique, en passant par l’accompagnement au changement et la formation. Notre force ? Croiser les expertises : IA générative, IA symbolique, automatisation des processus, NLP, computer vision, data science… pour concevoir des solutions efficaces, responsables et opérationnelles.
Des leaders de secteurs variés nous ont déjà confié leurs projets d’IA :
Agence Projective (architecture d'intérieur) : génération automatisée de moodboards et prévisualisations clients.
La Maison du Convertible (distribution) : recommandation produit & assistant IA pour configurateurs.
Libération & Infopro Digital (media) : analyse sémantique des contenus, automatisation éditoriale.
Dassault Aviation, Bouygues (industrie, BTP) : pilotage par IA de la documentation technique.
Armatis (call centers) : assistants conversationnels augmentés.
BBA, CEPIC (banque, image) : traitement automatisé des documents, indexation enrichie.
Nous croyons à une IA transparente, maîtrisée, alignée avec la valeur humaine. Nos solutions ne remplacent pas les experts : elles leur donnent de nouveaux super-pouvoirs. Loin des gadgets technologiques, nos projets se veulent utiles, mesurables, et centrés sur votre retour sur investissement.